dimanche 30 décembre 2012

Mais heu

Je vois tous ces onglets ouverts sur mon navigateur internet portant sur comment faire pour calculer la charge d'un peptide (ce qui n'est sûrement pas compliqué, mais parfois, ton cerveau décide qu'il ne fonctionnera pas pour un certain sujet) et je me dis "je ferai mieux de faire un post inutile".

Donc un beurre qui vole (merci les conversations avec ma sœur) et une page gribouillée par mes soins, juste pour vous, mes loulous anonymes.

 Love de partout.

jeudi 27 décembre 2012

Message subliminal

C'est ici qu'on a commandé une gribouille ? Non ? Bon, ben... Je vous la laisse quand même, je sais vraiment pas où ranger ce truc. J'ai pas envie d'encore me le trimballer. Non, livraison gratuite. Bonne journée. Au revoir.

J'hésite entre 2 interprétations : "Tu passes trop de temps devant cette machine" ou "J'EXISTE BORDEL OCCUPE TOI DE MOI"
A méditer.

mercredi 19 décembre 2012

"That boy needs therapy !"

fuck fuck fuck fuck fuck you lazy ass you ain't gonna do a shit
la procrastination continue, pas mes révisions



  Ha, ce sentiment qui nous rappelle qu'on n'a toujours pas fini de grandir, qu'on en a encore du chemin à parcourir avant de pouvoir se targuer d'être un modèle de stabilité et de maturité. Bon, ça, ça reste encore sur la liste des choses à faire alors.
Ce petit pincement à l'estomac ; hop ! la petite frayeur, "en fait, j'en avais pas encore fini avec tout ça", après des mois on pense qu'on est passé à autre choses, mais c'est comme toutes les expériences qu'on a dans notre vie, ça laisse une trace, ça reste quelque part. Faut bien s'en souvenir ! Sinon on serait foutu de refaire inlassablement les mêmes erreurs (comment ça, c'est ce qu'il se passe malgré tout ?).
Enfin, c'est simplement perturbant, voire même rigolo, de se souvenir à quel point on était une pauvre petite enfant perdue pas aidée empêtrée réfléchissant trop et pas comme il faut croyant tout savoir mais c'est qu'on était présomptueuse mon enfant hein ?

 

Hé ! Mais maintenant on a grandit hein. 
Aujourd'hui, je suis une grande enfant perdue toujours pas trop aidée. Et j'aime ça.
Ça fait du bien de se rappeler que l'ingrate crise d'adolescence est bien derrière nous. Attention, loin de moi l'idée prétentieuse de me qualifier de "mature" ou d'"adulte". 
Non, faut pas déconner non plus.
Enfin, après tout, on s'en fout de ça, non ? De moi, de toi, du 12/12/12, et de tout ce que Jean-Pierre Pernaut peut raconter au journal de 13h.
Non, mais même moi je sais pas pourquoi j'écris ça. 
J'aime bien écrire des trucs décousus. C'est comme pour faire une mise en page, je sais pas écrire. D'ailleurs, ça se veut pas intéressant. 
Au pire, je vous emmerde tous, et je rentre à ma maison !



Qui m'accompagne chercher le pain perdu ?
Qui vient faire l'imbécile heureux avec moi ? J'ai des cookies. ♥

 

mercredi 12 décembre 2012

Question de point de vue

Genre j'essaie de faire des bédés construites et tout en utilisant les anecdotes pas intéressantes de ma vie incroyablement pas intéressantes (oui ça fait deux fois "intéressantes", c'est pour insister) ;
Ben c'est pas encore ça hein.



Moralité : être myope comme une taupe, c'est pas super pratique.

vendredi 7 décembre 2012

:la:

Après une semaine de TP où j'ai dû faire preuve d'une concentration à laquelle mon petit encéphale n'est pas habitué, je suis traversée par pas mal de sentiments différents.














vendredi 30 novembre 2012

Les révélations du Domac 2


La réflexion post-miocharde continue.
Et l'idée d'une alimentation plus saine recule.


Edit :

 
Et parfois, je joue avec mon neveu.

mardi 13 novembre 2012

Camille découvre la vi(ll)e



Dans ces moments là, je me rappelle que je suis une campagnarde, pas une fille de la ville.
(et mes potes se foutent de ma gueule)

samedi 10 novembre 2012

Sparadrap.



Sylvestre : le come-back

Ça part de là :

 

 Et puis ça dégénère.



Si vous arrivez à lire ces quelques cases dans le bon ordre du premier coup, chapeau !
Je fais ça pour vous déstabiliser. C'est pas parce que je sais pas faire une mise en page.

Sylvestre était triste que je n'ai plus d'yeux que pour Ellie.

Dessiner des personnages issus de son imagination, c'est pas vraiment comme avoir des amis imaginaires... 
C'est plus comme avoir des enfants.

mardi 16 octobre 2012


Il se passe rien dans ma vie, c'est fou.
Sinon je fais des dessins sur Hordes.

samedi 22 septembre 2012

samedi 8 septembre 2012

Allez, le dernier post avant longtemps.


Tu viens chez moi, tu m'enfumes,
Tu m'traite de vieux légume,
Tu siffles mon Cognac
Et ton rire est démoniaque,
Tu viens frapper un grand coup
Dans ma vie de hibou
Mais pour tes beaux yeux, Bijou,
Mon cœur fait le Jacques !


Et sous les couvertures, J'alterne les lectures : Un poème d'Edgar Poe, Avec celui de ta peau~


vendredi 7 septembre 2012


J'ai rarement été aussi productive.
Et je boude les stylos. Vive les dessins au critérium pour un rendu bien gras.

mercredi 5 septembre 2012

jeudi 30 août 2012

J'dirais pas non à une paire de brassards non plus

Allez, parfois faut se prendre par la main, et plonger la tête la première.
Même si la flotte semble glacée et qu'on pense y perdre quelques extrémités gelées.



Plouf !

vendredi 4 mai 2012

Are you playing the game ?

"- Hey, Ripley. À ce qu’on raconte, tu as déjà eu affaire avec ces bestioles ?
- C’est vrai...
- Ouah, putain... Et alors ? T’as fait quoi ?
- Je suis morte."

mardi 1 mai 2012

En attendant que chargent les piles de ma calculette pour réviser mes maths (excuse bidon), je m'occupe comme je peux

C'est fou comme le sens des priorités change quand on est censé réviser.
Je suis retombée sur des gribouillis de zombies faits en cours de maths :





























"- Tu vas risquer nos vies pour un Twinkie ?
- Y’a une boîte de Twinkie dans ce supermarché. Pas n’importe quelle boîte de Twinkie. La dernière boîte de Twinkie que quiconque pourra savourer dans tout l’univers. Et crois le ou non mais les Twinkie ont une date de péremption ok ? Dans un avenir très rapproché, la vie de ce délicieux rondin de sucre sera terminée. Ok, alors maintenant courage ou dégage le p’tit."